17 januari 2011

Parc Pendjari

Autour de Noël on s’est donné cadeau une visite au Parc Pendjari, tout proche de chez nous et donc, comme employée d’AVIGREF, droit à l’accès gratuit. Jusqu’au moment qu’on arrive là et qu’on ne peut pas produire les pièces justificatives nécessaires. On paye donc comme - les autres touristes - ce qu’il faut. (prix à connaître sur le site du Parc : http://www.pendjari.net/) et on prend Célestin, comme guide local de Batia au Parc, ce qui est obligatoire pour le bon déroulement.


Les herbes sont encore hautes, les feuilles mortes des arbres nous font penser à l’automne au Nord et les grands et larges parcelles mis en feu donnent un aspect bizarre à cette ‘Destination 100% Nature’. Vous allez remarquer sur la plupart des photos que cela donne une lumière très sensible à la poussière partout.


Première rencontre avec les bêtes sauvages est à la Mare Bali, nos retrouvailles avec les hippopotames, aigles pêcheurs, crocodiles et hérons cendrés. A l’entrée du parc on avait aussi acheté le livre sur les oiseaux qui nous a aidé beaucoup en cours de route, car notre guide n’en connaissait pas plus que nous-mêmes (avec nos expériences en Afrique de l’Est, sauf peut-être le vocabulaire français, tandis que nous connaissons les termes anglophones).


Je cite ici les bêtes nouveaux pour nous ; des Cobes de Buffon (une sorte d’antilope), l'hippotrague avec son museau de cheval, la bubale qui, lui aussi, ressemble un peu au cheval, le Jabiru et le Coucal du Sénégal qui a même un nid tout proche de notre jardin à Tanguieta. Je le vois souvent quand il vient prendre une gorgée d’eau dans le bassin de nos canards.


La bête la plus grande était l’éléphant. Comme c’est impressionnant, d’abord l’éléphant mâle solitaire, puis une jeune ‘maman’ défendant ses petites (2) par une attaque (en battant les oreilles et en trompétant/chargeant vers notre voiture) et dans la vallée lointaine un énorme éléphant avec son troupeau, jamais vu un éléphant si impressionnant ni des emprunts grands et profonds dans la boue


Au moment de l’attaque de l’éléphant femelle notre guide avait le traque et paniquait tellement qu’il a fait peur à tous les passagers, c’est vraiment dommage cette réaction inconsciente, pour lui c’était la première fois qu’il a vu un éléphant de si près, dommage pour Jan qui n’avait plus le temps de prendre la photo,….


Pendant notre séjour au Parc on a pu faire la connaissance avec d’autres gens, qui sont devenus déjà nos amis, tel que Yves et Annonciata (Canada/Rwanda) et Olivier et Brigitte, des Belges depuis 18 ans au pays.


Mie 11/1/11

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